Pour 2014 se profile une nouvelle étape de l’austérité avec des ponctions sur le pouvoir d’achat des retraités, des fonctionnaires, et une réduction alarmante des dépenses publiques puisque 4 milliards d’euros vont venir s’ajouter aux 15 milliards d’économies déjà prévues. Cela va pénaliser la demande et l’investissement, ce qui est redoutable pour l’activité des entreprises.
Monsieur le Premier ministre, avez-vous l’intention de poursuivre une telle spirale de régression et d’échec en vous soumettant aux nouvelles injonctions de Bruxelles ? Ou comptez-vous au contraire défendre auprès de vos homologues au Conseil européen l’exigence de faire du pouvoir d’achat des ménages l’axe prioritaire d’une véritable politique de relance économique ?