Entre neuf heures et onze heures, c’est-à-dire durant la période représentant le pic de vigilance des enfants, ceux-ci apprendront mieux le français et les mathématiques. Nous ne changerons pas de position au sujet de cette prérogative de l’État, considérant qu’il est de l’intérêt de l’enfant – comme le pensent nombre d’élus, de droite comme de gauche – de le faire bénéficier de cinq matinées de classe par semaine.
En revanche, il est de votre compétence, en tant que maires, de choisir d’organiser ou non le temps périscolaire. L’État n’a d’ailleurs pas voulu interférer avec cette compétence, puisqu’il laisse aux maires la possibilité d’organiser, de façon facultative, le temps périscolaire