Je ne me moque pas, monsieur Geoffroy, je suis très sérieuse. Nous avons eu l’occasion de nous rencontrer à plusieurs reprises sur différents textes. Nous apprenons à nous connaître même si cela n’empêche pas les confrontations, et je sais avec quel sérieux vous travaillez. Mais je perçois ce que le texte d’aujourd’hui peut représenter pour vous. Vous avez été le rapporteur du projet de loi instituant les peines plancher.