Cet amendement a pour objet de placer au coeur du procès pénal la victime, malheureusement un peu trop oubliée dans votre texte. Je me place dans le droit fil de l’intervention, sur l’article 1er, de Claude Goasguen, qui rappelait que nous avons eu cette réflexion sur la place de la victime dans le procès pénal à l’occasion de l’examen d’un autre texte, sous la législature précédente.
Malheureusement, cette discussion avait, à nos yeux, tourné un peu court. L’occasion nous est donnée, par l’examen de ce texte, de placer la victime au coeur du procès pénal et de la rendre partie prenante, alors qu’aujourd’hui, elle est bien trop oubliée.