Monsieur Hetzel, j’essaierai de vous apporter une réponse brève, conforme aux propos de la secrétaire d’État chargée de l’enseignement supérieur et aux engagements pris à Bologne.
Quelle est aujourd’hui la réalité ? Nous sommes confrontés à une survivance et il est absolument nécessaire de faire évoluer cette mesure. Il est en effet inadmissible qu’il y ait une sélection en milieu de cycle. Nous envisageons une approche globale de l’accès au master et de la sélection des étudiants en fin de M1. Vous préconisez d’autres solutions.
Dans ce domaine, l’approche du Gouvernement, en lien avec les travaux engagés par Mme la secrétaire d’État chargée de l’enseignement supérieur et de la recherche et l’ensemble des personnels du monde universitaire, consiste à associer le point de vue des syndicats enseignants et étudiants afin de permettre de tirer les conséquences de cette survivance qui ne satisfait personne et qui nécessite d’être réformée.