Monsieur le député Jean-Claude Mathis, j’ai déjà répondu à cette question, que l’un de vos collègues d’un autre groupe a posée voilà quelques instants ; je ne répéterai donc pas ma réponse.
La France entière fait des efforts pour réduire les coûts de fonctionnement : l’État, les collectivités locales, les administrations sociales ; pourquoi les chambres de commerce et d’industrie ne le feraient-elles pas ?
Je l’ai dit à votre collègue et je le répète : nous n’attaquons pas les fonctions vitales des chambres de commerce et d’industrie. En particulier, nous ne touchons pas à la formation, dont vous n’avez pas dit un mot.