Pour conclure, madame Clergeau, madame Buffet, madame Gourjade, monsieur Véran, madame Biémouret, je voulais vous remercier de votre approche à la fois pragmatique, bienveillante et utile, car la réflexion qui a été menée n’est pas simple. Il s’agit non pas d’une affaire de quelques centaines de millions, comme on pourrait le craindre après un moment de discussion, mais d’une affaire plus globale. La question est de savoir ce que nous pouvons faire de plus pour mieux accueillir les enfants placés auprès de l’aide sociale à l’enfance, pour mieux les aider et pour leur permettre de construire des liens affectifs, durables, de bénéficier d’une éducation et de trouver leur place entre leur famille d’origine, les familles d’accueil et l’aide sociale à l’enfance. Mais nous aurons à nous pencher ensemble sur ces questions très prochainement.