Nous avons posé la question à nos adhérents, en leur demandant d'y répondre avec honnêteté. Il en ressort qu'en ce qui concerne les hébergements touristiques collectifs – hôtellerie, résidences de tourisme, campings –, globalement, les professionnels semblent respecter les obligations de déclaration. En revanche, pour les autres modes d'hébergement, comme les studios ou les appartements loués par des particuliers, il y aurait 80 % de déperdition.