Ces instruments permettront aux beaux-parents d’exercer en droit les responsabilités qu’ils assument déjà – c’est une précision essentielle – dans l’intérêt de l’enfant.
Les beaux parents ne doivent pas avoir de droits. Par exemple, le plus souvent c'est la décison de justice qui donne le droit de garde à la mère, dans 80 pour cent des cas. Le père n'a plus la garde des enfants du seul fait de la volonté du juge. Alors, si en plus la loi accorde les droits de l'autorité parentale au beau-père, le père normal est totalement nié, privé de ses droits, de la garde, de son autorité, il n'est de ce fait affectivement plus rien, tout juste bon à payer une pension alimentaire sans contrepartie. L'intérêt de l'enfant n'est pas que son vrai père soit ainsi réduit à zéro, pas plus qu'il n'est dans l'intérêt du père d'être réduit à rien, au profit de la mère et d'un inconnu.
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Le 17/06/2014 à 09:39, laïc a dit :
Les beaux parents ne doivent pas avoir de droits. Par exemple, le plus souvent c'est la décison de justice qui donne le droit de garde à la mère, dans 80 pour cent des cas. Le père n'a plus la garde des enfants du seul fait de la volonté du juge. Alors, si en plus la loi accorde les droits de l'autorité parentale au beau-père, le père normal est totalement nié, privé de ses droits, de la garde, de son autorité, il n'est de ce fait affectivement plus rien, tout juste bon à payer une pension alimentaire sans contrepartie. L'intérêt de l'enfant n'est pas que son vrai père soit ainsi réduit à zéro, pas plus qu'il n'est dans l'intérêt du père d'être réduit à rien, au profit de la mère et d'un inconnu.
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