Cela appelle bien évidemment l’attention du législateur. Vous comprenez bien que ce sentiment d’affection ne peut s’accompagner d’un mandat, puisque l’intéressé ne vit plus avec la personne qui avait, initialement, permis l’obtention de ce dernier. Il faut donc, à l’évidence, respecter l’évolution chronologique, faute de quoi nous connaîtrions des désordres tout à fait considérables. J’espère que cet amendement de bon sens, qui ne fait qu’atténuer la portée d’une disposition que vous envisagez, pourra être adopté.