Jean Pisani-Ferry, commissaire général à la stratégie et à la prospective, CGSP :
Si l'on met en place des allègements au 1er janvier 2015, il faudra à la fois assumer leur coût et payer le crédit d'impôt des années 2013-2014 imputable budgétairement sur l'année 2015. Le choc négatif est inévitable.