Je vais retirer l'amendement qui avait pour objet d'ouvrir la discussion.
Le bénévolat ne relève pas de la même logique que le salariat. Il ne faut pas hésiter à instituer des règles d'application différentes, même si elles dérangent les institutions, afin d'inciter ces dernières à prendre conscience des particularités du bénévolat. On ne peut pas obliger les bénévoles à se conformer au modèle dominant des salariés en leur imposant, au prétexte d'un parallélisme des formes, les mêmes parcours.
En outre, comme je l'ai déjà dit, un bénévole qui envisage de solliciter la VAE a déjà un parcours associatif.
Nous aborderons, dans quelque temps, le rapport sur la grande cause nationale de l'engagement associatif : il sera à nouveau question, j'y compte bien, de la validation des acquis de l'expérience. Pour l'heure, je retire mon amendement.