Monsieur le rapporteur général, alors qu'une aide à domicile chargée d'accompagner toute l'année une personne âgée représente aujourd'hui, après déduction du crédit d'impôt, une dépense annuelle de 13 500 euros, ce coût passera, dans la formule que vous proposez, à 17 000 euros. Nous sommes là au coeur de la question de la dépendance, or vous mettez à mal un dispositif qui prend en charge nombre de nos aînés et permet de maintenir des personnes à domicile. Il ne s'agit nullement d'un dispositif d'optimisation fiscale – à l'inverse des investissements outre-mer, que l'amendement I-CF 89 vise donc à intégrer dans le plafonnement. C'est là une question de cohérence.