On peine en effet à croire que la présidence s'abstiendrait de consulter au moment de préparer les conclusions qui seront publiées sous sa responsabilité : elle voudra s'assurer que son texte ne fera pas l'objet d'un communiqué contraire d'une délégation qui le jugerait infidèle. Ainsi, même en l'absence d'amendements formels, la présidence fera en sorte que le document final soit représentatif des débats.