La Commission fait ses propositions fin mai et le Conseil adopte les recommandations par pays début juillet ; la question de la légitimité d'une réunion organisée entre ces deux dates se poserait sans aucun doute. D'où ma proposition tendant à ce que la première session de la conférence interparlementaire se substitue à la semaine européenne, ce qui permettrait aux délégations de s'exprimer sur l'examen annuel de la croissance publié par la Commission. La deuxième session aurait lieu à l'automne. Le problème est que dans cette configuration, la conférence ne pourrait débattre des propositions de recommandations par pays.