Il sera difficile, parce que nous allons être confrontés à un double risque – je le dis dès à présent à cette tribune. Le premier risque va peser sur les recettes : je pense que nous aurons de nouvelles moins-values à constater. Le second risque, qui est nouveau par rapport à l’exécution 2013, pourrait peser sur les dépenses : je pense que nous allons assister à des dérapages de crédits.
Par exemple, les opérations extérieures : Jean-François Lamour l’a dit lors de l’audition du ministre Le Drian, nous savons que leur montant approchera 1 milliard, alors que nous n’avons inscrit que 450 millions.