M. Woerth a prononcé un discours critique, fondé sur beaucoup de convictions, mais assez peu de souvenirs eu égard aux fonctions éminentes qu’il a exercées – il est vrai que c’est un peu la règle du jeu. Toutefois, son argument sur la croissance mérite attention : l’estimer à 1 % pour 2014, c’est un espoir, sans doute pas une certitude, et là risque de se trouver la source de nombreux problèmes. Cela étant, je partage le sentiment exprimé à l’instant par Eva Sas, mais également par le FMI – qu’elle m’excuse de la mettre ainsi en compagnie de Christine Lagarde