Madame la députée, il est vrai que dans la situation que vous évoquez, une industrie de souveraineté était l’objet d’une offre d’achat conduisant à une sorte d’absorption, et courait un risque de disparition. Avec le Premier ministre et le Président de la République, nous avons fait le choix de maintenir Alstom dans le cadre d’une alliance avec un autre groupe, pour être plus forts dans la mondialisation.
Cette stratégie nous a conduits à choisir de faire entrer l’État au capital de la société Alstom ainsi maintenue.