Monsieur le Premier ministre, en l’espace de dix mois, trois orages de grêle d’une violence inouïe se sont abattus sur des régions qui n’avaient jamais connu de tels phénomènes, tant par leur intensité que par la grosseur et surtout la forme des grêlons. Ces orages ont causé des millions d’euros de dégâts, sur des centaines, voire des milliers d’hectares de culture. Des hectares de serres et de vérandas ont été pulvérisés, ainsi que des milliers de toitures de maisons et de bâtiments, faisant des milliers de sinistrés, dont certains vivent encore avec des bâches en guise de toiture.
Des rumeurs de plus en plus insistantes, émanant de personnes se disant très bien informées,