Intervention de Dominique Bussereau

Séance en hémicycle du 24 juin 2014 à 15h00
Réforme ferroviaire – nomination des dirigeants de la sncf — Explications de vote communes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDominique Bussereau :

Hélas, cette petite plaisanterie coûte environ 200 millions d’euros à la SNCF, un coût lié aux salaires des grévistes – M. Woerth vient de soulever cette question à juste titre – mais aussi à l’abaissement de notre système ferroviaire, à la perte de parts de trafic, en particulier dans le fret, qui ne pourront pas être récupérées et, naturellement et surtout, à la gêne induite pour nos compatriotes.

Nous ne voterons pas cette réforme, monsieur le Premier ministre, parce qu’elle est antieuropéenne.

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