L’actuelle majorité a pris la décision, dont il faut bien dire qu’elle est très idéologique, de supprimer le mécanisme d’exonération d’impôt sur le revenu des heures supplémentaires et le mécanisme d’exonération de cotisations salariales et patronales. Mon amendement propose de les rétablir, ce qui constitue un bon moyen de soutenir le pouvoir d’achat des plus modestes. Je rappelle tout de même que les suppressions que je viens d’évoquer ont touché neuf millions de personnes, chacune ayant été privée en moyenne de 500 euros par an. J’ai discuté de cette réalité du terrain avec des députés de la majorité, qui en sont parfaitement conscients.