M. Lefebvre ne sais sans doute pas que ce débat a déjà eu lieu à plusieurs reprises, car il ne siégeait pas encore parmi nous à l’automne dernier. Notre décision se justifie par le fait que le nombre d’heures travaillées en France était plus faible après la défiscalisation des heures supplémentaires qu’avant, et ce pour une raison d’ailleurs très simple. C’est que, hélas, sous la majorité de droite, était majoritaire, le chômage avait considérablement progressé.
Les problèmes de pouvoir d’achat doivent être traités d’abord au travers de la création d’emplois, de la diminution du chômage, et certainement pas au travers de la défiscalisation des heures supplémentaires qui, en l’occurrence, a conduit à une paupérisation globale de notre pays.