Vous avez au moins le mérite de faire preuve d’ouverture, monsieur le secrétaire d’État ! Je pense, en effet, que vous avez correctement posé le problème et que la solution préconisée n’est que partielle. L’idée lancée par la profession et que je partage, à savoir la possibilité de recourir à un tiers vérificateur, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, est très intéressante, car elle offrirait aux entreprises et aux banques, moyennant une légère rémunération, une plus grande sécurité juridique et permettrait le développement des prêts à taux zéro.