Je suis un peu surpris par votre propos, monsieur le secrétaire d’État : selon vous, autant vous pouvez ici concourir à l’élaboration de la loi, autant, s’agissant d’un décret si important qu’il ne peut relever de votre compétence, vous ne pouvez en la circonstance que vous en remettre au ministre qui est au-dessus de vous. Non, nous devons avoir ce débat, car la situation est grave. Pour la seule année 2013, mes collègues l’ont souligné, la perte de 6 % des heures correspond à une perte de 16 500 emplois. Nous devons donc réagir vite. Par définition, dans ce domaine, il faut être prêt pour la rentrée afin que les familles s’organisent en conséquence. Il faut donc prendre rapidement des décisions.