Je partage le diagnostic de Mme Grosskost sur la faiblesse du haut de bilan dans nos PME et, sans doute aussi, sur le manque d’attention prêtée, pendant des décennies, à la plus grosse entreprise de France, qui s’appelle l’artisanat, avec ses 800 000 ou 900 000 entreprises, mais je ne pense pas que la solution soit de créer de nouvelles niches fiscales.