Sur le haut de bilan, le problème, c’est que la psychologie française est peu ouverte à l’accueil d’actionnaires, fussent-ils minoritaires, dans le capital ; on préfère rester en famille. C’est un problème culturel avant que d’être un problème financier, car l’argent existe, vous le savez, que ce soit dans les fonds d’épargne, avec 357 milliards d’euros surliquides, dont 150 milliards dans le logement social, ou à la BPI, surliquide elle aussi. Ce qui ne vient pas, c’est la demande. Je compte donc sur vous, madame Grosskost, pour nous aider à convaincre les PME de la nécessité d’accueillir les actionnaires pour renforcer leurs fonds propres.