Bien qu’ils concernent tous les deux le CICE, ces amendements n’ont pas le même objet.
M. Cavard a rappelé que la taille d’une entreprise fait, en droit français, partie des critères justifiant un traitement différencié. Dans la mesure où la mission d’évaluation, dont font partie Mme Sas et M. Alauzet, ne manquera pas de s’interroger sur la pertinence d’appliquer des taux différents aux entreprises de différentes tailles, j’émettrai un avis défavorable à son amendement.
Il en est de même de la proposition de remettre à plus tard l’augmentation du montant du CICE : dans l’attente des conclusions de la mission, j’y suis défavorable.