La première consiste à prétexter de l'âge de cette centrale. C'est la plus ancienne, dites-vous ; mais vous savez très bien que vingt-trois réacteurs ont moins de cinq ans de différence avec Fessenheim. Si vous poursuiviez dans votre raisonnement, vous fermeriez d'ici à 2 022 40 % du parc nucléaire. J'espère que vous n'en aurez ni le loisir ni le temps !
La deuxième erreur porte sur la sûreté : les crédits pour la sûreté figurent, pour partie, dans ce programme. J'imagine que le travail de l'autorité de sûreté nucléaire, monsieur le président Brottes, ne compte pas pour rien.