Il n’y a rien de bon dans ces délirantes réformes structurelles ! Une telle purge ultralibérale ne se fait qu’au bénéfice du grand capital apatride. Tel est pourtant le cap que vous avez choisi, monsieur le Premier ministre. C’est volontaire : vous vous servez de l’Union européenne et du dogme de la compétitivité comme prétexte à votre politique d’austérité !