Monsieur le ministre, comment expliquez-vous ce qui apparaît également comme un échec de l’ « Airbus de l’énergie » voulu par le Président de la République ?
Au-delà d’une agitation aussi sympathique que peu efficace, allez-vous enfin mettre en une vraie politique industrielle française ?
Dans l’affaire Alstom, on s’est battu dos au mur, on est intervenu trop tard, alors qu’il y avait d’autres solutions possibles, notamment une solution française. Il y avait également une solution européenne.
Ce dossier Alstom est non seulement un échec français, mais également un échec européen. C’est un échec pour Arnaud Montebourg, pour Manuel Valls et pour François Hollande !