Quand on veut, on peut ; quand on ne veut pas, on ne peut pas. Cessez donc de ne ressasser que des arguments d’ordre financier : l’optimisation de la gestion, voire des économies sont certainement possibles ici et là pour permettre aux communes d’aller à l’essentiel, c’est-à-dire s’occuper de l’éducation des enfants.
J’ajouterai ceci : M. Lamour estime qu’il est inutile de se contenter d’une simple garderie. Pourtant, l’aménagement des rythmes des enfants ne consiste pas à faire de l’activisme à tout va ! Les enfants – c’est l’un des objectifs de la réforme – ont aussi le droit…