En sus de ces charges supplémentaires, l’État contredit désormais l’engagement qu’avait pris le Président de la République de ne pas appliquer la baisse de dotation aux villes à faible potentiel fiscal, autrement dit aux villes pauvres. Ma ville est la 183e commune la plus pauvre de France ; non seulement on lui retire 1,8 million d’euros de dotation, mais encore – parlons de maire à maire, monsieur le député – lui impose-t-on de financer la réforme des rythmes scolaires.
Encore une fois, cet amendement ne vise pas le fond du problème, mais simplement – avec tout le respect dû aux élus de Paris – à prendre l’argent nécessaire aux villes riches…