Je suis un peu étonnée du glissement proposé, qui mérite quelques explications. En effet, l’archéologie préventive a encore très récemment démontré, lors d’un chantier dans l’Oise, son utilité et sa capacité à construire de nouveaux pans de l’archéologie. L’évolution des ressources qui lui sont dévolues mérite à tout le moins d’être expliquée à notre assemblée et, peut-être, d’être redéfinie, afin, comme vient de le dire notre collègue Bechtel, d’être parfaitement en ligne avec les objectifs de la future loi patrimoine.