Pour vous être agréable, madame la présidente, je les présenterai successivement mais pas en totalité.
Le sous-amendement 391 me donne l’occasion de poser la question plus générale de la nature du projet gouvernemental.
Vous réduisez le nombre de routes écotaxées, qui passent de 15 000 à 5 000 kilomètres. Je suis le premier à le dire : une telle évolution est insuffisante ; mais je note aussi les progrès enregistrés, même si cet impôt demeure anti-économique comme j’ai eu l’occasion de le faire remarquer. Il n’empêche, également, que la part relative de ses coûts de fonctionnement s’accroîtra proportionnellement…