Cet amendement a été repoussé par la commission.
Je comprends l’intérêt d’une telle mesure à Paris, dans l’optique d’instaurer une taxation un peu plus lourde pour les hébergeurs qui relèvent du régime forfaitaire, comme les loueurs de courte durée. Mais il faut veiller à ne pas pénaliser, sur la taxe de séjour, des hébergeurs qui louent des chambres d’hôtes ou ses gîtes, par rapport aux clients des hôteliers qui, eux, sont au réel.
Avis défavorable, donc.