À la même époque avait été votée la création d'un fonds pénibilité, doté de 20 millions d'euros, afin d'aider les entreprises à adapter les postes de travail et à prendre des mesures de prévention, en particulier les entreprises dont les salariés souffrent de troubles musculo-squelettiques (TMS). Mais ces crédits n'ont pas été consommés et ont tout simplement disparu.