Soit le médecin prend sa retraite, soit il continue à exercer sous une forme ou une autre ; s'il décide d'aller exercer dans une zone sous-dense – tant mieux et grand bien lui fasse, mais c'est un cas peu probable –, il paiera alors des cotisations sur cette activité, dans la limite du plafond de cumul autorisé, et il touchera sa retraite. C'est le type même de la fausse bonne idée : une mesure de ce genre ne provoquera pas un afflux de médecins retraités dans les zones sous-denses.