Le pastoralisme dans notre pays est confronté à différents prédateurs – le loup, l'ours, le vautour. Ces espèces doivent naturellement être protégées, mais nous assistons à des changements de comportement qu'il serait intéressant d'expertiser. Des missions sont en cours, mais en attendant nos éleveurs sont exaspérés. Je sais que vous suivez ce dossier avec la ministre de l'écologie. La présence des prédateurs, qui est un frein à l'activité économique des zones de montagne, risque de provoquer des réactions extrêmes qui ne sont souhaitables pour personne. Je souhaite, monsieur le ministre, que vous vous engagiez, en collaboration avec votre collègue, à mener un travail de concertation pour aider notre pays à sortir des dogmes et pour accompagner les éleveurs.