Dès la fin 2012, j'ai fixé comme objectif la fin des épandages aériens. Le nombre d'hectares concernés a été réduit de 50 % à 58 % et des solutions alternatives permettent aujourd'hui d'éviter l'épandage en avion pour la banane. Reste que, pour la riziculture et pour les vignes cultivées sur des pentes trop abruptes, l'impossibilité d'utiliser un tracteur impose l'épandage aérien. L'objectif est donc inscrit dans la loi et il sera garanti d'ici à la fin de 2015 ou au début de 2016, sachant toutefois que des dérogations s'imposeront.