L’amendement no 42 ne vous étonnera point, car il tend à insérer le terme « supérieur » dans l’expression « intérêt de l’enfant ». Il est paradoxal que vous prétendiez, dans certains articles, mettre l’enfant au coeur du dispositif, pour des motifs que nous avons d’ailleurs contestés, et que le terme « supérieur » disparaisse dans le titre. Il serait donc raisonnable d’ajouter, au moins dans le titre de la proposition de loi, le terme « supérieur » après le terme « intérêt », afin de faire savoir à l’ensemble des magistrats de ce pays et à nos compatriotes que l’Assemblée nationale a légiféré dans l’intérêt supérieur de l’enfant, en reconnaissant pleinement ses droits.