Cet article 20 nous montre à quel point il est difficile de bien légiférer sur ces questions. En Guyane, il suffit parfois de traverser une rivière pour sortir du territoire français. On peut donc tout à fait imaginer que des gens, trouvant le droit français trop contraignant, aillent exploiter la biodiversité d'un même écosystème, mais dans un autre pays situé de l'autre côté du fleuve. Le problème est délicat. Trop de loi tue la loi, et trop de normes tuent la norme.