Je partage l'analyse de la rapporteure. Nous soutenons tous l'objectif de préserver les zones humides, mais conservons une certaine souplesse : il sera compliqué de déterminer, parcelle par parcelle, les prairies qui pourront être retournées ou non, et de le sacraliser dans un document d'urbanisme – schéma de cohérence territoriale ou plan local d'urbanisme intercommunal. Ne créons pas des dispositifs qui seront inapplicables sur le terrain !