Elle traduit l'évolution intervenue. Les sports d'eau vive, pratiqués en particulier par des « raiders » venus d'Europe du Nord, s'étaient développés, notamment en montagne, de manière anarchique et parfois catastrophique. Puis ces activités ont été appréhendées comme facteur de diversification touristique, réglementées en conséquence et gérées conjointement par les collectivités locales et les fédérations sportives, et l'on est parvenu à instaurer de très bonnes pratiques. Voilà ce qui justifie la suppression de l'article 63 – et, si elle était rejetée, l'article devrait être sérieusement amendé.