Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Hier après-midi, a débuté dans notre hémicycle l’examen du projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale. Alors que ce texte risque d’être un coup d’épée dans l’eau, parce qu’il ne répond pas aux défis, et qu’il pèsera, une nouvelle fois, sur le pouvoir d’achat des classes moyennes, vous avez décidé, hier soir, de nous priver de vote sur les articles et les amendements, tant que le Gouvernement l’aura décidé.