Aucune catégorie n’est épargnée. Jeunes, seniors, ouvriers, cadres : tout le monde est touché par le fléau. Le gouvernement précédent a mystifié les Français pendant une année sur « l’inversion de la courbe » ou « le ralentissement de la hausse » et votre actuel ministre du travail a singulièrement analysé la nouvelle hausse du chômage, se refusant à en commenter les chiffres mensuels au motif, a-t-il dit, « qu’ils ne veulent pas dire grand-chose » ! C’est indécent !