Je finis de répondre à M. Goasguen. Le problème posé est en effet celui des chrétiens d’Orient mais, aussi au-delà, celui de l’ensemble des minorités religieuses dans cette région du monde. Le seul moyen de s’en sortir, au-delà de faire entendre la voix de la France et de la communauté internationale, et des initiatives qui peuvent être prises – je ne doute pas que le Président de la République et le ministre des affaires étrangères y travaillent aujourd’hui – est de faire en sorte…