Monsieur le secrétaire d’État, si nous débattons aujourd’hui, ce n’est pas pour regarder vers le passé, même si l’on peut y trouver des explications.
Nous sommes réunis aujourd’hui afin de trouver des solutions pour l’avenir. Vous avez dit à plusieurs reprises qu’il fallait trouver des solutions rapides. Nous ne faisons pas une loi de financement rectificative pour les mettre en place six mois après, mais pour envoyer très rapidement des signaux à nos concitoyens. De surcroît, c’est la bonne période pour envoyer un signal aux personnes qui vont employer des salariés à domicile – je pense notamment à la rentrée des classes où l’on peut avoir besoin de se faire aider à la maison. Il ne faut pas attendre le mois de novembre !
Notre amendement est extrêmement important. Nous ne vous demandons pas, monsieur le secrétaire d’État, de le soutenir, mais nous avons besoin de vous entendre prendre l’engagement de faire passer par décret cette déduction forfaitaire à 2 euros.