Comme j’ai eu l’occasion de le dire à plusieurs reprises, le développement de la chirurgie ambulatoire, et plus largement de la médecine ambulatoire, est un axe privilégié par le Gouvernement. Cette préoccupation structure d’ailleurs le plan d’économies et de maîtrise des dépenses en matière de santé pour les prochaines années. Des propositions seront faites dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, comprenant des objectifs à atteindre région par région. L’amendement est donc d’une certaine manière satisfait. En outre, le moment est mal choisi pour avoir cette discussion. C’est pourquoi je donne un avis défavorable.