La commission a bien compris la préoccupation de Mme Orliac, mais juge souhaitable de ne pas figer dans la loi la liste des missions d’intérêt général. En effet, non seulement ces dernières doivent être poursuivies de la manière la plus décentralisée possible, mais elles sont amenées à évoluer en fonction des évolutions structurelles et technologiques. Dans le cadre de la stratégie nationale de santé, il est d’ailleurs possible que soient concernés d’autres objets que ceux figurant sur la liste actuelle. Au nom de la souplesse, j’appelle donc notre collègue à retirer l’amendement, faute de quoi j’en demanderai le rejet.