Loin de moi l'idée de contester les chiffres que vous avez cités au début de votre propos, mais je crois que les conduites addictives sont rarement déclaratives – l'auto-culpabilisation, le regard des autres, la dimension pénale y sont pour quelque chose. Encore que la consommation de cannabis et d'alcool n'est pas forcément considérée comme dévalorisante dans notre société au regard du côté festif…
J'imagine que vous avez obtenu ces chiffres grâce à des données croisées. Sont-elles pondérées ? Si oui, quels sont vos critères de pondération, sachant qu'ils peuvent être révélateurs des comportements ?